photo journal la conscience de Kinshasa
Plusieurs compatriotes nous ont interpellé à propos de la démission de monsieur Gizenga en tant que Premier Ministre. Nous leur avons répondu que cela était un non-événement.
Sommé de nous expliquer, nous préférons les renvoyer à un article que nous avions écrit en mars 2007. ci dessous un extrait de cet article et plus bas, le lien à cliquer pour relire cet article.
" IV. LES FAIBLESSES
Le personnage
Monsieur Gizenga a beau affirmer qu’il est en bonne santé, n’est-il pas mieux d’affronter le stress du pouvoir à quarante ans qu’à quatre-vingt ? Face aux interminables coups de téléphone, audiences, dossiers à lire, litiges à trancher, visites, coups fourrés des autres politiciens, réunions du gouvernement à présider, palabres familiales…La santé du patriarche ne sera-t-elle pas mise à rude épreuve ?
Vers les années quatre-vingt-dix, on a vu ce qui est advenu à d’autres Premiers ministres : les cheveux de feu Birindwa sont devenus blancs en moins d’une année. Quant à Kengo wa Dondo, quelques mois après son élection au HCR/PT (haut conseil de la république, parlement de transition), son sourire avait disparu. "
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